identity card.

nom: Deadkin + prénoms: Elleira + âge: 27 ans + date de naissance: 1 mars + origines: Australienne + études/métier: Pomme de sang + race: Animorphe + statut familial: À temps partiel + orientation sexuelle: Hétérosexuelle + avatar: Miranda Kerr.

who i am.

Elleira est son nom d’emprunt. Peu de personne sont au courant de se fait. En réalité, elle se nomme Arielle. Mais elle n’a jamais aimé se faire appeler comme tel. Elle a donc décidé de faire un petit changement en inversant les lettres de son nom. Si jamais vous apprenez la vérité à ce propos, je vous suggère de ne rien lui dire. Même pas en glisser un mot. Son caractère plutôt explosif risque de vous le faire regretter amèrement.

Comme dit un peu plus haut, Elleira a un sale caractère. Elle aime provoquer les gens pour ensuite leur faire savoir que ce n’était peut-être pas une bonne idée de s’en prendre à elle. On dit souvent qu’un chien qui jappe ne mord pas, petit conseil : ne prenez pas cet adage pour acquis avec elle car vous pourriez très bien vous retrouver avec un bras en moins. Elle se fait souvent traiter de garce, mais elle assume parfaitement sa personnalité. Elle est hypocrite et sans cœur. Elle n’est pas vraiment une personne à qui on peut se fier. Cependant, lorsqu’elle donne sa loyauté (ce qui est très rare) à quelqu’un elle vous défendra bec et ongle. Elle se prend pour une femme fatale, tel une vraie féline, il n’est pas étonnant qu’elle est choisit le couguar comme animal lors de ses transformations.

Elle n’est pas très grande de taille et malgré cinq pieds six pouces, elle ne se laisse pas facilement impressionner. Malgré tout ça, elle est consciente de son physique avantageux et n’hésite pas un seul instant à s’en servir. Ses yeux bleus, ses longs cheveux brun et son air angélique en trompent plus qu’un. Elle aime s’habiller de façon très léger et provoquant.

once upon a time

-Ma vie a toujours été comme un tourbillon sans fin dans lequel je semblais tomber. Je n’ai pourtant que 27 ans, mais j’ai déjà eu mon lot de malheur…

-Mais dites-moi, comment une jeune femme avec encore autant de choses à vivre peux dire qu’elle a eu son lot de malheur? Revenons à votre enfance si vous le voulez bien.

Je me contentais de hocher la tête tout en fixant le mur qui était devant moi. Je n’avais pas vraiment envie de raconter mon histoire et je me demandais encore pourquoi j’étais venu ici pour déblatéré sur mon passé. Visiblement, j’en avais besoin… Non?

- Je n’ai jamais connu mes parents… Du moins, je ne m’en rappel pas. Quelquefois j’ai des bribes de souvenir qui me reviennent en tête. Par exemple le sourire de ma mère, avec ses dents brillantes et légèrement plus pointue que la moyenne. Ou encore les yeux bleus saphir tellement intense de mon père… Inutile de dire que j’ai hérité de leurs caractéristiques…

Je mis une pause à mon récit. Je savais que ce que je m’apprêtais à dire ne m’enchantais guère, mais si cela pouvait m’aider à comprendre ce qui c’était passé… pourquoi pas?

-Je me rappelle aussi de sang… de beaucoup de sang. J’étais au niveau du sol, sur un tapis à long poil gris. Mes petites mains étaient posées sur la matière duveteuse qui était étrangement poisseux… L’odeur âcre du sang me donnait de drôle de sensation… Une étrange impression de faim tenaillait mon ventre. Puis je me rappelle de cris, ce n’était pas de cris humains… et cela m’a effrayé. Je fermais mes petits yeux de toutes mes forces, espérant que tout ce ci n’était d’un mauvais rêve. Que j’allais finir par me réveillé pour me retrouver dans les draps chauds de mon petit lit. Mais rien ne se produisait… Je continuais à évoluer dans ce film d’horreur. J’entendis une masse tombé au sol, des portes claquer et puis plus rien. Je restais là sans bouger pendant de longues minutes. Le silence qui pesait maintenant me faisait davantage peur. Pourquoi mes parents ne venaient-il pas me consoler et me dire que tout allait bien? Je me rappelle qu’à cet instant des larmes coulaient sur mes joues, brulant ma peau au fur et à mesure qu’elles se traçaient un chemin sur ma peau…

Je tournais lentement la tête vers l’homme qui était assis à côté de moi. Il semblait septique. Peut-être me croyait-il pas? Il se forçait de ne pas froncer les sourcils. Je le voyais à la façon dont ses tempes bougeaient. Il semblait aussi réfléchir… Je n’étais cependant pas venu ici pour me faire traiter de folle! Comme j’ouvrais la bouche pour l’engueuler, il me devança…

-Vous m’avez bien dit avoir 27 ans?

Je fronçais les sourcils avant de hocher positivement la tête. Ou voulait-il en venir avec mon âge? Je ne voyais pas en quoi cela pouvait avoir rapport avec l’histoire que je venais de lui conter. Il s’étira pour saisir le iPad qui était sur son bureau. Il appuya sur le bouton dans le bas de l’écran et commença à faire une recherche. Il ne cessait de faire des « hmm.. » et « hmm hmm… » tout en me jetant des coups d’œil de temps en temps. Puis il me tendit sa tablette numérique pour me montrer ce qu’il avait trouvé. Il s’agissait d’un article de journal d’une archive quelconques. Je lu ce qui était écrit et fut choqué de voir une photo d’une petite fille, assise sur la moquette grise clair du salon. La photo était en noir et blanc, mais l’on pouvait voir qu’il y avait une énorme tâche sombre qui recouvrait une bonne partie du tapis à l’endroit même ou la fillette était assise…

« Double mort étrange, laissant une survivante!

Hier soir ce produisait un crime sans précédant dans la petite ville de banlieue. Les policiers sont incapables de dire avec exactitude ce qui c’est produit cette nuit là. Ils ont été alertés par les voisins qui ont entendu des cris effroyables venant de la petite maison bleue. Ce fut un vrai carnage, laissant pour seule survivant une petite fillette de 4 ans. C’est à ce demander comment elle a fait pour survivre…»

Je cessais ma lecture et levait la tête vers l’homme. Visiblement, même les policiers n’avaient pas su ce qui était arrivé à mes parents… C’était frustrant!

-Que c’est-il passé par la suite?

- J’ai été envoyé de maison d’accueil en maison d’accueil jusqu’au jour où je fus envoyer dans un orphelinat. Il était très vieux et quasiment délabrer. C’était l’église qui la contrôlait et la gérait. Inutile de dire que c’était très sévère et que l’on ne pouvait pas faire ce que l’on voulait… J’avais à peine 8 ans lorsque j’ai avoué à la sœur en garde de moi que je pouvais me transformer en animal. Je me suis alors fait flageller pour avoir dit des mensonges… Une semaine plus tard, alors que je n’arrivais pas à me contrôler, je me transformais en jolis petit chat devant la religieuse… La plus grosse erreur de ma vie! Elle en parla à tous les membres de l’orphelinat et le prêtre décida qu’il fallait m’exorciser… Cela dura presque deux semaines entières. Mon alimentation ce diminua pour ainsi dire à de l’eau et un morceau de pain. Lorsqu’ils jugèrent que l’exorcisme avait fonctionné, ils me transportèrent dans ma chambre afin que je puisse me reposer. C’est alors que je décidais que s’en était assez! Mes poignets et mes chevilles me faisaient mal à cause des liens qui m’avaient retenu tout ce temps. Je me transformais alors en petite souris et me sauvais hors de cet enfer. Sans vouloir faire de mauvais jeu de mot… Lorsque je fus à l’extérieur, je me transformais en chien et je courrais aussi vite que possible à travers le champ qui entourant l’orphelinat. Sur le coup, je sentais une liberté m’envahir et je n’avais pas peur. Mais je ne savais pas dans quoi je m’embarquais…

C’est alors que je volais pour la première fois de ma vie. J’entrais par effraction dans une maison et volait des vêtements beaucoup trop grands pour moi. J’ai vécu à la rue pendant longtemps. Pendant la moitié d’une année pour être précise. Lorsque le froid pris et que la neige commençait à tomber dans le ciel, je fus prise d’une idée folle. Je me transformais alors en petit épagneul cocker et errait dans la vie dans la ville. Cela ne pris pas beaucoup de temps avant qu’une famille me recueille pour m’adopter sous ma forme de petite boule de poil. Je restais dans cette famille pendant une durée de 3 mois, c’est-à-dire dès que la neige fut fondue. C’est alors que j’appris réellement à voler. Je me réfugiais dans des bâtisses abandonnées et m’introduisait dans les magasins et maison pour me trouver quelque chose à manger. Il m’est même souvent arrivé de chasser de petits animaux et de m’en nourrir. Je dois avouer que j’aime bien la viande saignante…

Vers l’âge de 16 ans alors que j’allais cambrioler un magasin, je m’enfonçais dans une ruelle afin de trouver un endroit discret ou me transformer. Il faisait nuit noir et un silence pesant régnait. C’est alors que je tombais face à face à un homme d’une beauté légendaire. Ses dents étaient plantées dans le cou de la jeune femme qu’il tenait fermement contre lui. Ma première pensée fut qu’il devait être de la même race que moi, mais à le regarder je savais que j’avais tord. Il était trop… magnifique. Sa peau de porcelaine me donnait le goût de la caresser. Je me sentais complètement hypnotisé par sa personne. Puis, je sortie de mes pensées lorsqu’il leva les yeux vers moi. Ce que je vu dans son regard m’effraya, je voyais maintenant en lui le prédateur que je croyais qu’il était. Mon instinct de survie de pris alors et je pris mes jambes à mon cou. Je voulu me transformer en couguar afin de m’enfuir plus rapidement, mais il me prit de court. Je n’eu à peine le temps de réagir qu’il me saisissait dans ses bras tout en me bandant la bouche de sa main puissante afin que je ne cris pas.

Afin que je cris pas sur tout les toits ce que je venais de voir, il décida de me prendre sous son aile. Progressivement, je me prenais d’affection de cet homme rempli de surprise. Pour la première fois de ma courte vie, quelqu’un prenait soin de moi et m’entretenais. Je n’avais rien à faire pour mériter toute cette attention. Je vivais sur un petit nuage. Cependant, il y avait une chose qui m’empêchait d’être complètement comblé… Une humaine du nom de Karianne. Elle servait de pomme de sang à mon Gabriel. Je n’aimais pas l’attention particulière qu’il lui donnait. Cette fusion entre eux, cette intimité qu’ils partageaient… Je voulais être à sa place, je ne voulais pas partager Gabriel! C’est alors que la jalousie m’emporta… Je commis alors mon premier meurtre, mettant fin aux jours de la pomme de sang pour la remplacer à jamais!

Je me levais alors du banc sur lequel j’étais étendu et me tournais vers l’homme. Je lui souris doucement alors que je faisais le tour du fauteuil où il était assis.

-Maintenant que je me suis confier à vous, comment être certaine que vous allez garder le secret?

-Je vous rassure, je ne peux pas parler à cause du secret professionnel.

-Bien entendu… Je préfère tout de même ne prendre aucun risque!

Sans prévenir, je me transformais en couguar et lui rompait la nuque d’un coup de croc avant de dévorer l’homme avec faim! Lorsque je me retransformais je saisis sa carte d’affaire et souriais doucement.

-Je dois avouer que vous étiez un très bon psychologue!

Je quittais alors la maison dans laquelle il exerçait seul en ne laissant derrière moi que les os étincelant du défunt.

in real life.

Salut!! Je suis une québécoise qui oeuvre dans la domaine du graphisme. Pour ma changer les idées de mes journées de créativités, j'ai décidé de m'inscrire au forum!! Avec l'aide de ma femme... hihi J'ai une petite chienne nommé Ruby qui m'empêche d'écrire pour avoir mon attention... Euhh... sinon c'est pomal ça. Je ne suis pas très inspiré de ma personne ce soir. Désolé! hihi

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